3e étape du Tour de France 1952
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Généralités | |||||||||||||||||||||||||||||||
Course | 3e étape، Tour de France 1952 | ||||||||||||||||||||||||||||||
Date | 27 juin 1952 | ||||||||||||||||||||||||||||||
Distance | 189 km | ||||||||||||||||||||||||||||||
Pays | France | ||||||||||||||||||||||||||||||
Lieu de départ | Le Mans | ||||||||||||||||||||||||||||||
Lieu d'arrivée | Rouen | ||||||||||||||||||||||||||||||
Vitesse moyenne | 36,286 km/h | ||||||||||||||||||||||||||||||
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Documentation |
La 3e étape du Tour de France 1952 s'est déroulée le entre les villes du Mans et Rouen, traversant les départements de la Sarthe, de l'Orne, de l'Eure et de la Seine-Maritime. Étape de plaine, longue de 189 km, elle est marquée par la victoire du français Nello Lauredi et sa prise du maillot jaune.
Profil de l'étape[modifier | modifier le code]
Département | Lieu | km | Département | Lieu | km | |
---|---|---|---|---|---|---|
Sarthe | Le Mans | 0 | Orne | Marmouillé | 76 | |
La Bazoge | 9 | Nonant-le-Pin | 80 | |||
Saint-Jean-d'Assé | 15 | Gacé | 92 | |||
Saint-Marceau | 19 | Saint-Evroult-de-Monfort | 93 | |||
Beaumont-sur-Sarthe | 24 | Monnai | 106 | |||
Juillé | 26 | Eure | Broglié | 123 | ||
Piacé | 28 | Bernay | 134 | |||
La Hutte (Saint-Germain-sur-Sarthe) | 33 | Carrefour de Malbrouck (Carsix | 143 | |||
Fyé | 36 | Brionne | 149 | |||
Oisseau-le-Petit | 38 | Saint-Martin-du-Parc (Le Bec-Hellouin) | 152 | |||
Béthon | 39 | Bosrobert | 154 | |||
Arçonnay | 43 | Bourgthéroude-Infreville | 166 | |||
Orne | Alençon | 47 | Seine-inferieure | La Maison-Brulée (Moulineaux) | 173 | |
Valframbert | 51 | Moulineaux | 175 | |||
Forges | 55 | Grand-Couronne | 179 | |||
Le Perron (Saint-Gervais-du-Perron) | 59 | Petit Couronne | 183 | |||
Secs | 68 | Le Grand-Quevilly | 186 | |||
Chailloué | 74 | Rouen, Avenue de Caen | 189 |
Déroulement de la course[modifier | modifier le code]
Résumé de l'étape[a][modifier | modifier le code]
Départ du Mans et formation de la première échappée[modifier | modifier le code]
Au matin du , les cyclistes ont un programme précis à suivre avant le départ de la course[1] :
- 10 h : signatures et ravitaillement Place des Jacobins, devant le Théâtre municipal du Mans ;
- 10 h 50 : appel des coureurs ;
- 11 h 5 : départ du défilé par la rue des Jacobins, rue Claude-Blondeau, rue Marchande, rue Dumas, place de la République, rue Gambetta, rue Montoise, avenue Cordelet et route d'Alençon ;
- 11 h 15 : départ de l'étape devant la station essence BP.
La météo prévue est ensoleillée et très chaude, le vent est trois-quarts face défavorable.
Les 117 coureurs prennent le RN138 à la sortie du Mans, et dès les premiers (km 4) une première échappée se compose suite à l'attaque du français Buchonnet (Nord-Est / Centre), suivi par l'italien Corrieri (Italie). A La Bazoge (km 9), elle compte déjà 30 s d'avance sur le peloton. Au km 15, Gauthier (France), a fait les efforts pour rejoindre le duo de tête[2]. Son initiative est imitée par son coéquipier Lauredi, qui après plusieurs tentatives, parvient a s'éloigner du peloton suivi par Caput (Paris), Voorting (Hollande), Fachleitner (Sud-Est) et Milano (Italie). Le coureur italien se relève toutefois aussitôt. Le quatuor parvient à rejoindre le trio de tête à Juillé (km 25) mais ne comptent alors que 25 s d'avance sur le peloton. À l'arrière, les belges Blomme et Vanderstockt crèvent ce qui oblige l'équipe belge, qui défend son maillot jaune, à ralentir quelque peu[2],[3].
L'écart augmente entre l'échappée et le peloton pendant une centaine de kilomètres[modifier | modifier le code]
L'écart prend progressivement de l'ampleur. Un peu avant le passage a proximité de Fyé (km 35), les sept coureurs de tête comptent 1 min d'avance, sur Bauvin (Nord-Est / Centre) et 2 min 10 s sur le peloton. Douze kilomètres plus tard, à Alençon, l'écart est porté à 4 min 50 s. Dans le peloton, plusieurs coureurs sont lâchés et abandonnent, dont Derijcke (Belgique) soufrant depuis la veille[4], Dufraisse (Ouest / Sud-Ouest) et Ducard (Nord-Est / Centre). L'échappée quant à elle continue de gagner du temps, 6 min 50 s au Perron (km 59), 8 min à Sées (km 68) et 9 min 30 s à Nonant-le-Pin (km 79). Dans le groupe, Buchonnet (Nord-Est / Centre) crève aux alentours de Gacé mais parvient à rejoindre la tête[3].
Le peloton qui ne réagit pas, laisse l'écart filer. L'avance du groupe de tête, atteint 11 min 45 s au km 110 puis 13 min 45 s au km 123[2]. Buchonnet (Nord-Est / Centre) crève de nouveau dans les environs de Broglié et ne parvient pas cette-fois à remonter[2],[3]. Il décide de progressivement se laisser rattraper par le peloton[5].
La réaction du peloton après le ravitaillement de Broglié[modifier | modifier le code]
Après Broglié et le contrôle de ravitaillement, le peloton commence à réagir alors que l'écart culmine à 14 min 5 s d'avance. Au km 147, les six coureurs en tête devancent Buchonnet (Nord-Est / Centre), attardé, de 7 min 20 s et le peloton de 12 min 3 s. Au km 156, l'avance est retombée à 11 min 10 s[3].
L'explication finale[modifier | modifier le code]
À 21 km de l'arrivée, l'italien Corrieri crève et doit laisser partir les cinq autres coureurs de l'échappée[2]. L'explication finale approche. En raison de ses qualités de rouleur, Caput (Paris) est le favori en cas de victoire jouée au sprint. Quant au maillot jaune, c'est Fachleitner (Sud-Est) qui est le mieux placé pour le prendre, puisque qu'il dispose depuis le km 80 d'une avance suffisante pour dépasser Rik Van Steenbergen au classement général et possède six secondes d'avance sur Lauredi (France), l'autre cycliste bien placé au classement général dans l'échapée[6]. Les coureurs arrivent dans la côte de La Maison-Brulée (km 171), Caput (Paris) et Voorting (Hollande) s'accrochent et chutent, emportant au sol Fachleitner (Sud-Est)[2]. Les deux membres de l'équipe de France, Lauredi et Gauthier parviennent à éviter l'accident et filent ensemble vers Rouen. Voorting parvient à repartir sans trop de retard, de même que Fachleitner (Sud-Est). Caput (Paris) en revanche, qui a cassé sa roue arrière, est blessé au bras et à la jambe[3].
À pleine vitesse, les deux français franchissent la ligne d'arrivée, Gauthier laisse gagner son coéquipier Lauredi pour que celui-ci puisse bénéficier de la minute de bonification[2]. Voorting (Hollande) franchit la ligne en troisième position, 3 min 25 s après les deux Français. Corrieri (Italie) qui a rattrapé Fachleitner entre-temps, franchissent la ligne avec 6 min de retard. Le peloton termine l'étape avec 10 min 31 s de retard[3].
Autour de la course[modifier | modifier le code]
Dans le journal Libération du , Jacques Marchand souligne que les conditions d'hébergement des coureurs (notamment celles proposées au Mans), principalement ceux qui composent les équipes régionales, ne sont pas toujours idéales, avec des problèmes liés à la nourriture, au bruit et au manque de tranquillité. Logeant au sein d'hôtels remplis de clients venus spécialement pour le Tour, ou a proximité de la place du Mans où se déroulent des concerts, les conditions ne sont pas dignes selon lui, d'une épreuve longue et exigeante[2].
Réactions dans la presse[modifier | modifier le code]
- Geminiani coéquipier du vainqueur réagit à la stratégie du jour de l'équipe de France :
« Dans les deux premières étapes, nous avons attaqué pour nous retrouver chaque fois avec Coppi et sans aucun bénéfice pour un tricolore. Un Breton (Robic) et un Auvergnat n'ont pas toujours la tête dure. Nous avons compris. Puisqu'il était impossible que nous détachions, eh bien nous servirions d'appât. Nous avions convenu de rester dans le peloton pour capter l'attention de nos adversaires, permettant ainsi à l'un de nos autres équipiers de se détacher plus facilement. Le coup devait réussir. Il a réussi. Je suis content pour Laurédi et pour Bernard. »
— Raphaël Geminiani, L'Equipe du 28 juin 1952
- Coppi réagit à l'avance prise par Laurédi au classement général :
« On n'aurait jamais dû laisser partir Lauredi. Ses qualités nous sont connues et l'on sait qu'il est dangereux. Si j'avais été seul leader de l'équipe italienne, poursuivit Fausto, j'aurais immédiatement fait lancer la chasse. Je sais, on dira que j'aurais pu m'élancer à la poursuite, mais dans les deux premières étapes, c'est toujours moi qui ai riposté aux offensives des Français et des Belges. Je ne veux pas sans cesse payer de ma personne. A chacun son tour... J'enrage d'autant plus que nous n'avons aucun intérêt à laisser se développer une échappée. On se fatigue autant à l'arrière qu'à l'avant, ensuite il faut reprendre le terrain perdu. »
— Fausto Coppi, L'Equipe du 28 juin 1952
Résultats[modifier | modifier le code]
Classements de l'étape[modifier | modifier le code]
Classement individuel de la 3e étape | ||||
---|---|---|---|---|
Coureur | Pays | Équipe | Temps | |
1er | Nello Lauredi | France | France | en 5 h 12 min 31 s |
2e | Bernard Gauthier (cyclisme) | France | France | + 0 s |
3e | Gerrit Voorting | Pays-Bas | Hollande | + 3 min 25 s |
4e | Giovanni Corrieri | Italie | Italie | + 6 min 4 s |
5e | Edouard Fachleitner | France | Sud-Est | + 6 min 10 s |
6e | Jacques Dupont | France | Paris | + 10 min 31 s |
7e | Henk Faanhof | Pays-Bas | Hollande | + 10 min 31 s |
8e | Jean Robic | France | France | + 10 min 31 s |
9e | Gottfried Weilenmann | Suisse | Suisse | + 10 min 31 s |
10e | Mario Baroni | Italie | Italie | + 10 min 31 s |
modifier |
Classement par équipes de la 3e étape | ||||
---|---|---|---|---|
Équipe | Pays | Temps | ||
1er | France | France | en 15 h 46 min 34 s | |
2e | Hollande | Pays-Bas | + 15 min 26 s | |
3e | Italie | Italie | + 18 min 5 s | |
4e | Sud-Est | France | + 18 min 11 s | |
5e | Belgique | Belgique | + 22 min 32 s | |
5e | Espagne | Espagne | + 22 min 32 s | |
5e | Nord-Est / Centre | France | + 22 min 32 s | |
5e | Ouest / Sud-Ouest | France | + 22 min 32 s | |
5e | Afrique du Nord | France | + 22 min 32 s | |
5e | Paris | France | + 22 min 32 s | |
modifier |
-
Nello Lauredi
(Équipe de France)
Vainqueur de l'étape du jour -
Bernard Gauthier
(Équipe de France)
Second de l'étape du jour -
Gerrit Voorting
(Équipe de Hollande)
Troisième de l'étape du jour
Bonifications en temps[modifier | modifier le code]
Le règlement du Tour de France offre des bonifications en temps aux premiers coureurs qui franchissent les cols répertoriés et à ceux qui arrivent premier et deuxième à l'arrivée de l'étape. Ces secondes gagnées permettent de prendre du temps sur les adversaires, au classement général de l’épreuve[7].
Coureur | Pays | Équipe | Secondes | |
---|---|---|---|---|
1 | Nello Lauredi | France | France | 1 min |
2 | Bernard Gauthier | France | France | 30 s |
Prix de la combativité[modifier | modifier le code]
- Nello Lauredi (France) a obtenu cinq voix sur quatorze de la part du comité chargé d'élire le coureur le plus combatif de l'étape[8].
Primes attribuées[modifier | modifier le code]
Un ensemble de prix et de primes sont attribuées à la fin de chaque étape venant alimenter les cagnottes de chaque équipe du Tour. Elles sont versées par l'organisateur ou des sponsors. L'organisateur a délibérément fait le choix de créer plusieurs catégories de primes afin qu'elles puissent récompenser tous les types de coureurs ainsi que les équipes et non plus seulement les vainqueurs[9].
Pos. | Bénéficiaire | Montant | Sponsor | |
---|---|---|---|---|
Classement de l'étape | 1er | Nello Lauredi | 100 000 fr. | Kleber-Colombes |
2e | Bernard Gauthier | 50 000 fr. | ||
3e | Gerrit Voorting | 25 000 fr. | ||
4e | Giovanni Corrieri | 16 000 fr. | ||
5e | Édouard Fachleitner | 12 000 fr. | ||
Première équipe au classement du jour | France | 100 000 fr. | Martini | |
Première équipe régionale du jour | Nord-Est / Centre | 50 000 fr. | Martini | |
Porteur du maillot jaune | Nello Lauredi | 100 000 fr. | La Suze | |
Coureur le plus combatif | Nello Lauredi | 100 000 fr. | Le Sucre | |
Coureur le plus malchanceux | Édouard Fachleitner | 20 000 fr. | Les Assurances | |
Prime du sang froid | Nello Lauredi et Bernard Gauthier | 20 000 fr. | Cynar | |
Compte tenu de l'érosion monétaire due à l'inflation, le pouvoir d'achat de 100 000,00 Anciens francs en 1952 est donc le même que celui de 2 401,66 Euros en 2022[12]. |
Classements à l'issue de l'étape[modifier | modifier le code]
Classement général[modifier | modifier le code]
Classement général | ||||
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Coureur | Pays | Équipe | Temps | |
1er | Nello Lauredi | France | France | en 16 h 38 min 41 s |
2e | Bernard Gauthier | France | France | + 3 min 43 s |
3e | Rik Van Steenbergen | Belgique | Belgique | + 4 min 4 s |
4e | Pierre Pardoën | France | Nord-Est / Centre | + 5 min 4 s |
5e | Alex Close | Belgique | Belgique | + 7 min 2 s |
6e | Édouard Fachleitner | France | Sud-Est | + 7 min 4 s |
7e | Gerrit Voorting | Pays-Bas | Hollande | + 7 min 38 s |
8e | Maurice Blomme | Belgique | Belgique | + 7 min 53 s |
9e | Robert Vanderstockt | Belgique | Belgique | + 7 min 58 s |
10e | Jean-Marie Cieleska | France | Nord-Est / Centre | + 8 min 12 s |
11e | Andrea Carrea | Italie | Italie | + 8 min 12 s |
12e | André Rosseel | Belgique | Belgique | + 9 min 15 s |
13e | Bernardo Ruiz | Espagne | Espagne | + 9 min 45 s |
14e | Pierre Molinéris | France | Sud-Est | + 10 min 15 s |
15e | Giovanni Corrieri | Italie | Italie | + 10 min 17 s |
modifier |
Classement de la montagne[modifier | modifier le code]
Aucune ascension répertoriée n'a encore été franchie. Aucun coureur n'est donc classé au classement de la montagne.
Classement par équipes[modifier | modifier le code]
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Équipe | Pays | Temps | ||||
1re | France | France | en 50 h 4 min 33 s | |||
2e | Belgique | Belgique | + 4 min 46 s | |||
3e | Hollande | Pays-Bas | + 12 min 13 s | |||
4e | Nord-Est / Centre | France | + 16 min 11 s | |||
5e | Italie | Italie | + 18 min 5 s | |||
6e | Sud-Est | France | + 19 min 30 s | |||
7e | Ouest / Sud-Ouest | France | + 23 min 43 s | |||
8e | Sud-Est | France | + 19 min 5 s | |||
9e | Espagne | Espagne | + 28 min 22 s | |||
10e | Afrique du Nord | France | + 32 min 23 s | |||
modifier |
-
Nello Lauredi
(Équipe de France)
Leader du classement général individuel -
L'équipe de France
Leader du classement général par équipe
Abandons, exclusions[modifier | modifier le code]
La liste des coureurs classés à l'arrivée d'une étape est établie par la direction du Tour en retirant de la liste de départ les coureurs qui ont abandonné en cours d'étape (abandon), les coureurs qui ont franchi la ligne d'arrivée avec un temps de course qui excède de 10 % celui du vainqueur (arrivée hors délais) et enfin les coureurs exclus pour une raison disciplinaire (mise hors course)[13].
Arrivés hors délais[modifier | modifier le code]
- Germain Derijcke (Belgique)
- Robert Ducard (Nord-Est / Centre)
- André Dufraisse (Ouest / Sud-Ouest)
- Robert Chapatte (Paris)
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Compte tenu de l'approximation de certains résumés d'étape rédigés par la presse nationale de l'époque et malgré les croisements d'informations, des inexactitudes peuvent demeurer dans le kilométrage des événements et la composition des échappées.
Références[modifier | modifier le code]
- « Détail du parcours de la troisième étape », L'Équipe : le stade, l'air, la route, , p. 4 (lire en ligne )
- Jacques Marchand, « Lauredi détaché avec Bernard Gauthier prend le maillot jaune », Libération, , p. 6 (lire en ligne )
- Louis Lapeyre, « Sur le ruban des kilomètres », L'Équipe : le stade, l'air, la route, no 1935, , p. 2 (lire en ligne )
- « Le docteur craint que le Belge Derijcke ne puisse repartir », L'Équipe : le stade, l'air, la route, , p. 4 (lire en ligne ).
- Maurice Vidal, « Les malheurs du petit Carle », Libération, , p. 6 (lire en ligne )
- Claude Tillet, « Claude Tillet décrit la course », L'Équipe : le stade, l'air, la route, , p. 1 (lire en ligne )
- « Quelques aspects du réglement », Miroir des Sports : Guide du Tour 1952, , p. 21 (lire en ligne ).
- « N. Lauredi, le plus combatif la troisième prime du sucre », L'Équipe : le stade, l'air, la route, , p. 3 (lire en ligne ).
- Jacques Goddet, « Jacques Goddet analyse le caractère du Tour 52 : IV. - Donner une chance, une compensation, une récompense à ceux qui créent le mouvement », L'Équipe : le stade, l'air, la route, , p. 8 (lire en ligne ).
- L’Aurore, (lire en ligne).
- « Les primes de la 2e étape », L'Équipe : le stade, l'air, la route, (lire en ligne [3]).
- « Convertisseur franc-euro | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- « Quelques aspects du réglement », Miroir des Sports : Guide du Tour 1952, , p. 21 (lire en ligne ).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Résultats de l'étape sur le site officiel du Tour
- Édition du journal L’Équipe du jour de l'étape (également organisateur du Tour)
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jacques Augendre, Guide historique, Paris, Amaury Sport Organisation, , 207 p. (lire en ligne).
- Thierry Cazeneuve, L'Equipe raconte la grande histoire du tour de France 1947-1956, Les années Louison Bobet - no 2, Paris, L'EQUIPE / COBRA, .
- Fabien Conord, Le Tour de France à l'heure nationale, Paris cedex 14, Presses Universitaires de France, , 360 p. (ISBN 9782130621669, lire en ligne), p. 51-91.
- But-Club et le Miroir des sports : Le numéro programme du Tour 52 (Revue sportive), Paris, [s.n.], , 40 p. (ISSN 1766-7135, BNF 34481173, lire en ligne).
- But-Club et le Miroir des sports : L'heure de Coppi a déjà sonné (Revue sportive), Paris, [s.n.] (no 356), , 20 p. (ISSN 1766-7135, BNF 34481173, lire en ligne).
- But-Club et le Miroir des sports : L'histoire du Tour 52 (Revue sportive), Paris, [s.n.], coll. « Le Roman du Tour », , 66 p. (ISSN 1766-7135, BNF 34481173, lire en ligne).
- Miroir Sprint : Le miroir du Tour (Revue sportive), Paris, [s.n.], , 15 p. (lire en ligne).
- Le Tour de France 1952 (Revue sportive), Paris, [s.n.], coll. « Miroir Sprint », 24 p. (lire en ligne).