Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (La Tour-Blanche)
Type | |
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Destination actuelle | |
Dédicataires | |
Début de construction |
XVe siècle |
Fin de construction |
XIXe siècle |
Propriétaire actuel |
Commune |
Patrimonialité |
Recensé à l'inventaire général |
Pays |
France |
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Région | |
Département | |
Commune |
Coordonnées |
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L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul est située à La Tour-Blanche-Cercles, en France.
Localisation[modifier | modifier le code]
L'église est située sur le territoire de La Tour-Blanche, ancienne commune intégrée à celle de La Tour-Blanche-Cercles, en Périgord, dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Description[modifier | modifier le code]
L'église, en grande partie moderne, est composée d'une nef de quatre travées voûtées de fausses ogives, de collatéraux très étroits et d'un chœur du gothique tardif, revoûté en berceau brisé sans doute au XIXe siècle. Le chevet carré est étayé par deux contreforts biais, dont l'un est creusé d'une niche conservant une statuette. La nef est protégée par de la tuile creuse, tandis que le chœur l'est par de la lauze. Le clocher, terminé par une flèche, est situé sur la façade occidentale[1].
Histoire[modifier | modifier le code]
Le chœur du XVe siècle de cette église moderne constituait l'ancienne chapelle Notre-Dame-de-La-Recluse ou Notre-Dame-des-Faubourgs, occupée par un hospice. L'incendie de l'ancienne église Saint-Sébastien (de la Tour), lors des guerres de Religion, située alors au pied du château de la Tour-Blanche, destina la chapelle à devenir église paroissiale au XVIe siècle. Les bâtiments de l'hôpital sont utilisés afin d'agrandir la nouvelle église. En 1897, l'architecte E. Meunier entreprend d'édifier le clocher occidental.
L'édifice est répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel de la Nouvelle-Aquitaine[1].
Galerie[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no IA24000851, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .