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Auguste Bénard

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Auguste Bénard
Auguste Bénard (photographie publiée dans les Éloges funèbres d'Auguste Bénard, imprimeur-éditeur en 1907)
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Auguste Bénard, né le [1] à Paris et décédé le à Liège, est un éditeur et imprimeur français qui travaille à Liège de 1873 à 1907. La collaboration qu'il maintient à partir de 1887 avec les artistes Émile Berchmans, Auguste Donnay et Armand Rassenfosse est à la base d'une production graphique à l'avant-garde de l'art de l'affiche en Europe, fin du XIXe siècle et début du XXe siècle.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse, formation en France et début de carrière à Liège (1854-1887)[modifier | modifier le code]

Auguste Bénard, né à Paris le [1],[2], est le fils d’un architecte parisien[2],[3]. Il est le fils naturel de Céline Bénard[4]. Il perd ses parents très jeune et se retrouve orphelin dès l'âge de 7 ans[2],[5].

Il commence à travailler comme ouvrier lithographe[6],[7]. Il se rend ensuite à Orléans où il va travailler pour Paul Desjardins père[6],[8]. Il s'y familiarise avec les procédés de la lithographie[5],[6]. Par après, il est employé à Saumur avant d'arriver à Liège en 1873[5],[7],[9]. Durant cette première étape d'apprentissage réalisée en France, il épouse Adeline Bordier, originaire de Saumur, avec qui il a une fille, Gabrielle Adeline Bénard, née à Liège en [10].

Une fois installé à Liège en 1873, il travaille dans un premier temps comme dessinateur lithographe puis comme directeur de l’imprimerie Dessain, poste qu'il occupe jusqu'en 1887[2],[6],[7],[11]. À ce moment, il décide de se mettre à son compte et crée sa propre société spécialisée dans l’imprimerie, l’édition et la typographie artistique[2],[6],[12].

Auguste Bénard : maître-imprimeur à Liège (1887-1907)[modifier | modifier le code]

Fondation de Caprice revue et création de sa maison d'édition[modifier | modifier le code]

Georges Marc (rédacteur en chef), Auguste Bénard (fondateur et imprimeur) et Auguste Donnay (illustrateur), Caprice revue Nº 5 , 31 décembre 1887 (première page)

Il fonde en 1887 Caprice revue (décembre 1887 - mai 1889), « un hebdomadaire artistique de 8 pages, où les poèmes, les nouvelles et les billets d'humeur côtoient des critiques artistiques et théâtrales et des chroniques mondaines[13] ». Sur les 76 magazines publiés[14], 28 sont agrémentés d'une planche de bande dessinée en quatrième de couverture[13]. Ces planches sont illustrées par un groupe de jeunes artistes liégeois[13]. Parmi ces derniers, certains collaborent également avec l'imprimerie d'Auguste Bénard : Émile Berchmans, Auguste Donnay, et Armand Rassenfosse[13],[15],[16]. « Les illustrations, tantôt caricaturales, tantôt tendres et romantiques, conçues par eux pour Caprice revue [...] contribuent à faire de cette publication artistique et littéraire un des plus beaux fleurons de l'édition liégeoise de la fin du siècle dernier[17]. »

Marque d'édition de l'imprimerie d'Auguste Bénard

Auguste Bénard s’installe rue Lambert-le-Bègue[9],[18], et sera, tout au long de sa carrière, « un artiste et surtout un facilitateur de projets »[6], en plus de ses rôles d'éditeur et d'imprimeur où il se distingue par ses innovations techniques. Il serait l’un des premiers imprimeurs à utiliser des papiers de couleurs[6],[17],[19] et à renouveler les techniques d’impression de la chromolithographie[6]. Le matériel moderne dont il dote son imprimerie lui permet également de tirer des affiches de grand format[17]. Qui plus est, « [...] tous ceux qui l'ont connu dans l'exercice de son métier s'attachent à rappeler sa vision nette et précise, son goût délicat et subtil, alliés à une technique irréprochable[17]. » « Sur sa marque d'édition, conçue par Armand Rassenfosse, est inscrite la devise "Qui vult potest" ("Qui veut peut"), révélatrice du tempérament d'un homme qui, partit de rien, gravit tous les échelons jusqu'à devenir un maître dans son métier[2]. »

Suite au décès de sa première épouse en [20], il se remarie le à Liège, avec Fanny Gourgne, institutrice[4],[21]. Le couple a une fille, Eugénie Adeline Bénard, en [22].

Les « affiches Bénard »[modifier | modifier le code]

Armand Rassenfosse, Genièvre La Croix Rouge... Amer Wodon, Bitter Wodon, 1895 (Lithographie en couleurs ; 49 × 64 cm), Paris, Bibliothèque nationale de France.

De 1888 à 1907, des affiches à l'avant-garde naissent de la collaboration qu'il maintient avec les jeunes artistes qu'il emploie, particulièrement avec Émile Berchmans, Auguste Donnay, et Armand Rassenfosse[2],[6],[9],[16],[19],[23],[24] et « ce qui est au départ un simple support publicitaire va atteindre le statut d’œuvre d’art »[6]. « L'étroite association de ces quatres hommes fera dire à un critique de l'époque qu'à l'instar des héros romanesques, les trois mousquetaires liégeois de l'affiche étaient également quatre[2]. » En effet, comme le remarque André Lebrun en 1980 : « Il ne suffit pas de disposer d'un dessinateur apte à concevoir une œuvre d'art, encore ne faut-il pas le trahir lors de la production en série[15]. »

Auguste Donnay, Deuxième exposition internationale d'art photographique, 1896 (lithographie en couleurs; 88 × 125 cm) , Ixelles, Musée d'Ixelles

Les « affiches Bénard » se caractérisent en général par « la spontanéité, le réalisme peu appuyé, la mise en page originale et la maîtrise technique [...] »[19]. Chaque artiste apporte des préférences et des expériences qui lui sont propres : Armand Rassenfosse se distingue par « des demi-teintes cernées d'un trait tantôt souple tantôt vigoureux »[19] ; Auguste Donnay « se montre particulièrement sensible à l'atmosphère et à l'émotion »[19] ; Émile Berchmans « donne d'autant plus de vigueur aux aplats de couleurs qu'il les souligne par le dessin »[19]. D'autres artistes collaborent avec l'imprimerie Bénard, comme par exemple : Ernest Marneffe, Jean Ubaghs, Alfred Martin, Richard Heintz, Ludovic Janssen, Edmond Delsa, José Wolff, Jacques Ochs, Ernest Forgeur, Pierre Paulus, Henri Cassiers et Émile Dupuis (d)[25]. Ce dernier, originaire d'Orléans, arrive à Liège en 1902[26] et dirigera durant de nombreuses années l'atelier de dessin et de lithographie[17].

Comme le remarque le Journal de Liège en 1907 : « M. Bénard, on peut l'affirmer sans craindre d'être démenti, fut un véritable bienfaiteur pour les artistes liégeois ; beaucoup, grâce à lui, qui les lança, firent leurs premiers pas dans la voie du succès et connaissent aujourd'hui la notoriété. »[12]

Intégration à Liège et autres travaux d'impression[modifier | modifier le code]

Stand de l'imprimerie Auguste Bénard à l'Exposition universelle et internationale de Liège de 1905 (photographie publiée dans Le Livre d'Or de l'Exposition universelle et internationale de Liège de 1905 Tome II de Gustave Drèze en 1907)

Auguste Bénard s'est pleinement intégré à Liège : il est membre de la Société typographique liégeoise, vice-président de la Chambre syndicale de l’imprimerie et vice-président du Cercle belge de Librairie[6],[27]. Cependant, il conserve aussi des liens avec la France : il est membre fondateur de la Chambre de commerce française de Liège et membre du Comité de l’Association française de Bienfaisance[6],[17],[28]. Il participe aux foires et expositions universelles, y recevant plusieurs distinctions, et il réalise, entre autres, l’édition du Livre d’Or et de l’Album commémoratif de l’Exposition universelle et internationale de Liège en 1905[6],[29],[30],[31].

Émile Berchmans, Le poète, 1897 (illustration du livre Sangahall de Jules Sauvenière (d), édité par l'imprimerie d'Auguste Bénard)

Durant son parcours comme indépendant, il « touche avec un égal bonheur à tous les secteurs de l'imprimerie et de la lithographie »[2],[7]. André Lebrun poursuit : « [...] en toute matière, qu'il s'agisse de publier un luxueux ouvrage - tel ce recueil commémorant le septante-cinquième anniversaire de l'indépendance belge - ou simplement de réaliser un modeste catalogue industriel, Bénard fait montre d'un même souci de perfection. Livres techniques ou scolaires, éditions d'art, cartons et brochures publicitaires, gravures et diplômes, innombrables sont les œuvres sorties de ses presses, illustrées souvent par des artistes liégeois prestigieux[2]. » La maison d'édition d'Auguste Bénard « s'est créé également une spécialité des éditions classiques et scientifiques, tout en ne négligeant point, au surplus, l'exécution du livre moderne[32]. »

Décès d'Auguste Bénard et postérité de sa maison d'édition (1907-1970)[modifier | modifier le code]

Décès et hommages rendus au maître-imprimeur (1907)[modifier | modifier le code]

Franc-maçon et de religion protestante, il décède le à Liège[6],[33]. « Sa disparition prématurée [...] fut suivie de funérailles émouvantes et donna lieu dans la presse à des commentaires aussi détaillés qu'élogieux[17]. »

Le discours prononcé par Mr. Émile Defeld au nom du personnel de l'imprimerie Bénard durant les obsèques[34] rappelle qu'Auguste Bénard était, en plus d'un maître-imprimeur, « un philanthrope et le meilleur ami de ses ouvriers »[35] : « En nous il est et il sera toujours avec sa grande bonté d'âme, dont la préoccupation constante était l'amélioration du sort de ses ouvriers qu'il considérait comme les enfants d'une grande famille [...][36] »

Oscar Berchmans, Profil d'Auguste Bénard, vers 1907[37]

La rubrique nécrologique de L'Express du 7 septembre 1907 abonde dans le même sens : « Ses ouvriers, eux aussi, étaient ses amis, et nous nous souvenons d'une fête récente où ils célèbrèrent en lui le bon patron, à l'occasion de flatteuses distinctions. Il avait été fait, en effet, chevalier de l'Ordre de Léopold [...] À cette fête, son meilleur ami et collaborateur, Armand Rassenfosse, eut des paroles vibrantes pour retracer la vie d'Auguste Bénard, et Oscar Berchmans avait, en commémoration, modelé de ses doigts amitieux, une émouvante silhouette du maître imprimeur[38]. » Cette même rubrique pointe également que le patron avait créé pour ses ouvriers une mutualité et une caisse de retraite[17],[38].

L'Express, toujours dans même rubrique nécrologique, résume la carrière professionnelle de l'entrepreneur et maître-imprimeur : « Venu fort jeune parmi nous, Bénard, par un travail acharné, par son goût très sûr, par sa grande probité s'éleva rapidement au dessus de sa première condition, qui était celle d'un ouvrier lithographe. On peut dire de lui, selon une formule consacrée, qu'il était vraiment le fils de ses œuvres. L'établissement qu'il créa, sous sa direction vaillante, grâce à ses initiatives éclairées, prospéra si rapidement qu'il devint un modèle du genre. [39]. »

Postérité de la maison d'édition Bénard (1908-1970)[modifier | modifier le code]

En 1908, l'imprimerie d'Auguste Bénard change de raison sociale et devient une société anonyme[9],[17]. Armand Rassenfosse, qui était associé d'Auguste Bénard depuis 1890, restera membre du conseil d'administration de la société jusqu'à son décès en 1934[7],[17]. L'entreprise continue sans relâche son activité jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, sous la direction de personnalités diverses[17]. Devant faire face à la concurrence grandissante de l'offset, elle fusionne avec l'Imprimerie centrale en 1953, mais rien n'y fait, le déclin se poursuit et la société disparait finalement en 1970[7],[9],[17].

Œuvre[modifier | modifier le code]

Catalogues (sélection)[modifier | modifier le code]

En plus des catalogues listés, l'imprimerie d'Auguste Bénard édite, par exemple, divers catalogues pour les cristalleries du Val-Saint-Lambert et la Fabrique Nationale d'Armes de Guerre.

  • Auguste Bénard, Première exposition de noir et blanc, Liège, Aug. Bénard, (OCLC 1105220302)
  • Ville de Liège, Musée des beaux-arts : catalogue, Liège, Imprimerie Bénard, , 137 p. (OCLC 27249817)
  • Ville de Liège, Musée des beaux-arts : Supplément au catalogue, Liège, Imprimerie Bénard, , 12 p. (OCLC 27249817)

Livres et autres ouvrages (sélection)[modifier | modifier le code]

Publications liées aux expositions internationales (sélection)[modifier | modifier le code]

  • Camille Renard, Exposition universelle d'Anvers 1894. La Céramique, Liège, Aug. Bénard, , 88 p. (OCLC 937163393)
  • Exposition universelle de 1900, Exposition Universelle Internationale Paris 1900. Section Belge des Beaux-Arts, Liège, Aug. Bénard, , 154 planches et 27 p. (OCLC 82126912, lire en ligne)
  • Godefroid Kurth, Introduction historique au catalogue de l'exposition de l'art ancien au pays de Liége, Liège, Aug. Bénard, , 27 p. (OCLC 1194479934)
  • Gustave Drèze, Le Livre d'Or de l'Exposition universelle et internationale de Liège de 1905 Tome I, Liège, Imprimerie Bénard, , 703 p. (OCLC 907778469, lire en ligne)
  • Gustave Drèze, Le Livre d'Or de l'Exposition universelle et internationale de Liège de 1905 Tome II, Liège, Imprimerie Bénard, , 924 p. (OCLC 907778400, lire en ligne)
  • Gustave Drèze, Le livre d'or de l'Exposition de Charleroi en 1911 Tome I, Liège, Imprimerie Bénard, , 540 p. (OCLC 11091790)
  • Gustave Drèze, Le livre d'or de l'Exposition de Charleroi en 1911 Tome II, Liège, Imprimerie Bénard, , 720 p. (OCLC 11091790)
  • M. Laurent, Catalogue de l'Exposition de l'Art Ancien au Pays de Liège, Liège, Imprimerie Bénard, , 208 p. (OCLC 878352173)
  • Exposition internationale de 1930, Catalogue de l'Exposition de l'art de l'ancien pays de Liège et des anciens arts wallons, Liège, Imprimerie Bénard, , 32 p. (OCLC 82960811)

Affiches de l'imprimerie Auguste Bénard (sélection)[modifier | modifier le code]

Expositions[modifier | modifier le code]

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Il remporte plusieurs récompenses lors des différentes expositions universelles qui se tiennent à la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle :

Les distinctions suivantes lui ont été décernées :

Réception critique[modifier | modifier le code]

« Il serait injuste de ne pas féliciter M. Auguste Bénard, qui est non seulement un éditeur de goût, mais aussi le collaborateur et l’ami de ceux qui lui doivent d’être au premier rang parmi les rénovateurs de la Réclame murale en Belgique. »

— Maurice Bauwens[46].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Archives en ligne de Paris, fichier de l'état civil reconstitué, cote V3E/N 149, vue 50/101
  2. a b c d e f g h i et j Lebrun et al. 1980, p. 9.
  3. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 7, 15.
  4. a et b « Mariage Auguste Bénard & Fanny Victorine Anne Gourgne le 7 septembre 1889 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  5. a b et c Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 7.
  6. a b c d e f g h i j k l m et n Delforge 2014.
  7. a b c d e et f Piron 2003-2006, p. 80.
  8. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 7, 20.
  9. a b c d et e « Imprimerie A. Bénard Liège (Les collections du Musée de la Vie wallonne) », sur collections.viewallonne.be (consulté le )
  10. « Naissance Gabrielle Adeline Bénard le 6 juillet 1874 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  11. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 8, 35.
  12. a et b Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 8.
  13. a b c et d Paques 2008, p. 81.
  14. « Caprice Revue », sur donum.uliege.be (consulté le )
  15. a et b Lebrun et al. 1980, p. 9-10.
  16. a et b Baudson et Marchant 1980, p. 10, 134, 136-137, 141.
  17. a b c d e f g h i j k l m et n Lebrun et al. 1980, p. 10.
  18. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 23.
  19. a b c d e et f Comhaire et Vanelderen 1978, p. 562.
  20. « Décès Adeline Bordier le 5 avril 1889 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  21. Ville de Liège, « Acte de mariage n°820 » Inscription nécessaire, sur FamilySearch, (consulté le )
  22. « Naissance Eugénie Adeline Benard le 7 juillet 1890 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  23. Dumont 1979, p. 341-342.
  24. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 8, 16-17, 35.
  25. Lebrun et al. 1980, p. 12.
  26. « Cartes postales illustrées par Emile Dupuis », sur archives.orleans-metropole.fr (consulté le )
  27. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 10, 34, 43-44.
  28. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 29-33.
  29. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 14, 16, 21.
  30. Gustave Drèze, Le Livre d'Or de l'Exposition universelle et internationale de Liège de 1905 Tome I, Liège, Imprimerie Bénard, , 703 p. (OCLC 907778469, lire en ligne)
  31. Gustave Drèze, Le Livre d'Or de l'Exposition universelle et internationale de Liège de 1905 Tome II, Liège, Imprimerie Bénard, , 924 p. (OCLC 907778400, lire en ligne)
  32. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 21.
  33. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907.
  34. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 39-41.
  35. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 26.
  36. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 40-41.
  37. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 1, 13.
  38. a et b Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 13.
  39. Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 12.
  40. Lebrun et al. 1980, p. 3.
  41. « Affiches de l'imprimerie Bénard : 1888-1918 (Catalogue de l'exposition organisée au musée de la Vie wallonne á Liège du 5 au 28 septembre 1980) », sur search.worldcat.org (consulté le )
  42. « Autour d’Auguste Bénard. L’âge d’or de l’affiche à Liège – Les Musées de Liège » (consulté le )
  43. « Autour d’Auguste Bénard. L’âge d’or de l’affiche à Liège », sur www.visitezliege.be (consulté le )
  44. a b c d et e Exposition Universelle et Internationale de Liège 1905, p. 30 (classe 11, no 55) et 34 (classe 13, no 104).
  45. a b c d et e Éloges funèbres d'Auguste Bénard 1907, p. 5.
  46. Bauwens 1897, p. 128.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Pierre Baudson (direction scientifique et supervision) et C. Marchant (recherches biographiques), L'Art de l'Affiche en Belgique : 1900-1980. Catalogue de l'exposition à la Galerie CGER, Bruxelles, du 4 avril au 4 mai 1980, Bruxelles, Europalia, , 152 p. (OCLC 715448827). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Maurice Bauwens, Hayashi Tadamasa, Julius Meier-Graefe, Joseph Pennell et La Forgue, Les Affiches étrangères illustrées, Paris, G. Boudet Éditeur, , 205 p. (OCLC 1008276305, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Maurice Bauwens (rédaction de l'article), « Belgique », Les Affiches étrangères illustrées, op. cit.,‎ , p. 89-132. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Paul Delforge, « Auguste Bénard », Dictionnaire des Wallons,‎ (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Éloges funèbres d'Auguste Bénard, imprimeur-éditeur, né à Paris en 1853, décédé à Liége le 5 septembre 1907, Liège, Imprimerie Bénard, , 49 p. (OCLC 723842240, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Exposition Universelle et Internationale de Liège 1905, Catalogue officiel de la section belge, Liège et Bruxelles, Charles Desoer Éditeur et Imp. Ve Ad. Mertens et fils, , 328 p. (OCLC 901701097, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • André Lebrun (rédaction du catalogue), Adelin De Buck (conception du catalogue), Catherine De Croës (conception du catalogue) et Jean Fraikin (conception du catalogue), Affiches de l'imprimerie Bénard. Collection du Musée de la Vie Wallonne, Liège. Catalogue de l'exposition à la Belgisches Haus, Cologne, du 24 avril au 22 mai 1980, Belgique, Édition Lebeer Hossmann, , 92 p. (OCLC 7779405). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Rita Lejeune (direction) et Jacques Stiennon (direction), La Wallonie. Le Pays et les Hommes. Lettres-arts-culture, t. II : du XVIe siècle au lendemain de la Première Guerre mondiale, Bruxelles, La Renaissance du livre, , 600 p. (OCLC 70306409, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Georges Comhaire (rédaction de l'article) et Francis Vanelderen (rédaction de l'article), « Livre second. De 1815 au lendemain de la première guerre mondiale ; Deuxième partie : Les arts : II Dessin, gravure et lithographie en Wallonie au XIXe siècle », La Wallonie. Le Pays et les Hommes, op. cit.,‎ , p. 551-564 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Rita Lejeune (direction) et Jacques Stiennon (direction), La Wallonie. Le Pays et les Hommes. Lettres-arts-culture, t. III : de 1918 à nos jours, Bruxelles, La Renaissance du livre, , 442 p. (OCLC 70306409, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Fabienne Dumont (rédaction de l'article), « Quatrième partie : Les arts : II L’expression graphique, L'affiche en Wallonie de la fin du XIXe siècle à nos jours », La Wallonie. Le Pays et les Hommes, op. cit.,‎ , p. 341-344 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Maurice des Ombiaux, Quatre artistes liégeois: A. Rassenfosse - Fr. Maréchal - A. Donnay - Em. Berchmans, Bruxelles, Librairie Nationale d'Art et d'Histoire G. Van Oest & Cie, , 109 p. (OCLC 894210857, lire en ligne)
  • Frédéric Paques, « Caprice-Revue. Avant la norme. », Art & Fact, Liège, no 27,‎ , p. 81-89 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Paul Piron, Dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles, vol. 1 : A-K, Ohain - Lasne, Éditions Art in Belgium, 2003-2006, 800 p. (ISBN 9782930338118, 9782930338538 et 2930338113, OCLC 493737398). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Liens externes[modifier | modifier le code]

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