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Rue Édouard-Vaillant

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Rue Édouard-Vaillant
Image illustrative de l’article Rue Édouard-Vaillant
Rue Édouard-Vaillant, côté Ouest, près du croisement de l'avenue de la République. Ce buraliste est toujours présent et s'appelle désormais Tabac de la Gare.
Situation
Coordonnées 48° 53′ 42″ nord, 2° 29′ 20″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Bondy
Début Rue Roger-Salengro
Fin Avenue Anatole-France, route départementale 10
Histoire
Anciens noms Rue du Chêne-Rond
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Édouard-Vaillant
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Rue Édouard-Vaillant

La rue Édouard-Vaillant, est un axe de communication de Bondy[1],[2].

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Cette rue est desservie par la gare de Bondy, la gare des Coquetiers et la gare de tramway La Remise à Jorelle sur la ligne 4 du tramway d'Île-de-France.

Elle croise notamment l'avenue de la République, l'avenue Carnot et l'avenue Rouget-de-Lisle.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Plaque de la rue.

Le nom de cette rue rend hommage à Édouard Vaillant (1840-1915), homme politique socialiste français et communard[3].

Son ancien éponyme, rue du Chêne-Rond, subsiste toutefois dans des appellations locales[4]

Historique[modifier | modifier le code]

En octobre 2000, des fouilles archéologiques menées devant les no 43 à 49 mirent au jour des objets divers, céramiques et bols remontant approximativement à l'âge du bronze final (1800 ans av. J.-C.)[5].

Comme de nombreuses voies de communications de la ville renommées entre 1920 et 1924 pour des motifs politiques et sociaux[6], cette rue prend sa nouvelle appellation en 1921.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Augustin-des-Coquetiers, construite en 1932[7]
  • Aux no 129-131, un pavillon et son atelier datant de 1913, œuvres de l’architecte Max Bressy, et qui témoignent de l’artisanat de Bondy au XXe siècle[8].
  • On y comptait après la Première Guerre mondiale plusieurs sociétés industrielles, notamment les Ateliers de Bondy, la scierie Rauscher, l’entreprise Egrot et Grangé et les Fonderies Modernes de l’Automobile.

Notes et références[modifier | modifier le code]